L. ALEXIS SANDERS

Hi! Je m'appelle L. Alexis Sander. Je suis actuellement âgé de 21 ans. Je suis née le 15/11/1992, à la Nouvelle-Orléans, Louisianne. Je suis une gentille petite humaine. Côté coeur je suis célibataire. Dans la vie, je suis Serveuse. Pour finir, on me compare souvent à Britt Robertson et je fais partie du groupe des Chasseurs.

Make me dream ♥

Décembre 2010,
Il était à peine onze heures quand Leïla, ma meilleure amie me déposait chez moi. La soirée s’était finie tôt, enfin du moins nous l’avions quittée plus tôt que prévu après un accrochage. Je sortis de la voiture et saluais mon amie avant de claquer la portière. J’attendais, en lui faisant signe de la main, qu’elle ait tourné au coin de la rue pour prendre la direction de chez moi. Malgré mes gants et mon manteau j’étais frigorifiée. Je soufflais dans mes mains das le but de me réchauffer sans que ça n'ai vraiment d'effet. Je fronçais les sourcils en ne voyant aucune lumière allumée. Ce n’était pas dans les habitudes de mes parents de se coucher avant que je sois rentrée. Je sentis mon cœur accélérer en voyant la porte d’entrée entre-ouverte, qu’avait-il bien pu se passer en trois heures et demies ? J’inspirais pour tenter de me calmer et poussais lentement la porte. Il faisait nuit noire. Je cherchais à tâtons l’interrupteur et allumais la lumière. Rien ne paraissait étrange, tout était en ordre mais un silence trop inquiétant régnait. C’était sur il n y avait personne dans la maison. Je sortis mon portable et vérifiais ma boîte de réception. Pas de message de mes parents, rien. Je rangeais mon portable et m’aventurais à petit pas dans la maison.

« - Papa ? Maman ? Vous êtes là ? »

Seul le silence répondait à mes appels. Arrivé à hauteur du salon je tournais la tête. Mon sang se glaçait à la vision qui m’atteint. Mon père était étendue sur le sol baignant dans une marre de sang. La plaie qui avait causé cette flaque se situait au niveau de son cou, une plaie indistincte. Je déglutis, ravalant mes larmes. Je devais retrouver ma mère. Je montais à l’étage et ouvrais chaque porte. Je la trouvais dans la salle de bain je voyais sa poitrine se soulever lentement, trop lentement. Je me précipitais vers elle et prit son visage dans mes mains en l’appelant. Je la vis ouvrir lentement les yeux et sourire légèrement avant de grimacer de douleur. J’attrapais mon portable qui me glissait des mains je lançais un juron avant de le rattraper et d’appeler les urgences.

« - Ca va aller maman tu vas voir il vont arriver. »

Je lui fit un sourire qui tentait d’être rassurant, en vain. Les larmes troublait ma vision. Je la pris contre moi en essayant de faire pression sur la plaie. Le fait que je tremblais ne rendait pas la tâche aisée mais je persistais. Contre moi je sentais sa respiration diminuer lentement. Je la berçais en pleurant, la priant de ne pas me laisser maintenant et que j’avais besoin d’elle. Je soufflais de soulagement en entendant l’ambulance arriver et leur criais que j’étais à l’étage. C’était trop tard. Je ne voulais pas l’admettre mais ma mère avait rendu son dernier souffle dans mes bras cinq minutes plus tôt.

Je les vis embarquer mes parents et serrais les dents, Leïla essayant à la fois de me calmer et de me réconforter. Tout ce que je voyais à ce moment là était les assassins giser sur le sol comme mes parents étaient quand je les avait trouver. Je me le jurais, j’allais les retrouver.

Juillet 2013,
Je rentrais chez moi et balançais mes chaussures prêt de l’entrée avant de me rendre au salon allumer là télévision. J’allais à la cuisine me prendre une tequila et revenait m’affaler sur mon  canapé en la sirotant. J’écoutais les informations et poussais un grognement en entendant de nouvelles attaques de présumées bêtes sauvages, encore et toujours.

Peu après la mort de mes parents j’avais fait des recherches sur leurs blessures, savoir si un tueur en série était spécialiste là-dedans. Et puis mon meilleur ami d'enfance m'étais revenu à l'esprit et c'est après un mois de réflexion que j'avais décider d'arrêter de jouer au plus con et d'aller le voir. Le seul tueur quil avait été capable de me dire était l’espèce des vampires. Au début je n’avais pas voulu y croire mais en me rendant compte des centaines de morts non élucidée, basées sur l’hypothèse que les gens avaient été attaqués par un animal j’avais commencé à avoir un doute et puis un jour, il m’avait fait la révélation que oui ils existaient réellement et me l'avait prouvé par a+b. Je me suis alors fixé un but : Retrouver ceux qui avaient vidé mes parents de leur sang.